Une carte au trésor, c’est magique
En ces temps troublés, la lecture vient souvent à notre secours. Parmi les mémoires d’enfance, je me souviens du dévouement de ma mère, ainsi que de sa curiosité, qui lors d’une sortie de films pour enfants, nous trimbaler au cinéma. De Vingt mille lieues sous les mers (version Disney avec le calmar géant en carton –pâte, mais impressionnant pour l’époque),
sans oublier tous les Astérix, puis l’ile au trésor de Robert Louis Stevenson, version Disney encore,
mon éducation cinématographique fut un cadeau
inestimable . Si tu ne vas à Lagardère pour paraphraser le héros du Bossu, la bande
dessinée ira à toi, avant le roman ! Dans un souci de découvertes amoureuses,
et, nous songeons aux grands classiques, la maison d’édition Glénat, enchaine
depuis quelques années, les œuvres littéraires marquantes sous le format de
bulles. De la Comtesse de Ségur aux Misérables en deux tomes et du Livre de la
jungle à Croc-Blanc, c’est plus qu’une bibliothèque rose.
Un
trésor convoité
Trop tôt disparu à l’âge de 44 ans, le romancier américain Robert –Louis Stevenson aura légué deux œuvres majeures : Dr Jekyll et Mr Hyde ainsi que l’ile au trésor. Ce conte pour grands et petits, pourvu qu’il ne fasse pas de cauchemars au tout début, ressuscite la vie des pirates et boucaniers, avec la clé, un trésor . Si la figure centrale reste Long John Silver,
pirate attachant, mais dangereux, le jeune Jim Hawkins,
propriétaire de la taverne avec sa mère deviendra celui auxquels tous
les fils de cette sublime histoire vont se raccrocher.
Respectant scrupuleusement
le texte, avec juste ce qu’il fait d’ombre pour agrémenter le mystère, le tandem
Christophe Lemoine/Jean-Marie Woehrel réussit le tour de force, de ramener
votre vieux blogueur à ses 7 ans. Un immense merci !
Commentaires
Publier un commentaire