Souvenirs amoureux

 

                                                                         


Les jours ou j’ai tué Emma

par Hervé Gagnon

Hugo/ Roman

138 p

Le romancier/historien Hervé Gagnon est un véritable marathonien de fond. Au fil des ans, il a su captiver les amateurs de suspense et d’histoire avec des romans tels que « Les Templiers », « Les cathares » et « Le Montréal des années 1900 (les aventures de Joseph Laflamme) ». Ses œuvres sont on ne peut plus populaires en France, ce qui témoigne de sa renommée qui dépasse largement les frontières du Québec. Lors de chaque salon du livre, cet auteur charismatique accueille chaleureusement son public en partageant des récits envoûtants. Cela contribue à sa notoriété croissante.

Je soupçonnais que ce chevalier au grand coeur dissimulait derrière sa cuirasse une âme d’adolescent. Vous allez pouvoir le découvrir dans ce nouveau roman, en ce 12 août, jour de la littérature québécoise.

Selon l’écrivain, tout est vrai ou presque. Effectivement, en troisième secondaire, en 1978, Hervé Gagnon était trop timide pour aborder une fille extraordinaire, qui se nommait Emma. Celle-ci périt malheureusement dans un accident de moto quelques années plus tard, alors que sa vie commençait tout juste. Bien qu’elle eût toute la vie devant elle, Hervé Gagnon la fit revivre à travers des sentiments. Ces perceptions amoureuses dont nous sommes familiers : le secondaire tumultueux, les sorties, la première demande… Nous sommes sur un terrain connu.

                                        


Sous la plume du romancier, nous plongeons dans des univers parallèles, grâce à des allers-retours. Emma ressuscite presque. Son héros toujours timide cherche un angle pour appréhender. La disparition d’une jeune fille, surtout si elle provoque des émois forts en nous, n’est pas facile à comprendre. Dans ce monde étrange qui rappelle la science-fiction, Hervé Gagnon tisse une histoire captivante, émouvante et unique. Elle plaira autant aux adolescents qu’aux lecteurs matures ayant connu l’année 1978. Une fois de plus, Hervé Gagnon brille, et il est certain que nous le retrouverons prochainement dans une nouvelle série sur les Templiers, ou en suivant son journaliste favori alors qu’il déambule dans les rues d’un Montréal qui s’évapore progressivement…

Les jours ou j’ai tué Emma

par Hervé Gagnon

Hugo/ Roman

138 p

Le romancier/historien Hervé Gagnon est un véritable marathonien de fond. Au fil des ans, il a su captiver les amateurs de suspense et d’histoire avec des romans tels que « Les Templiers », « Les cathares » et « Le Montréal des années 1900 (les aventures de Joseph Laflamme) ». Ses œuvres sont on ne peut plus populaires en France, ce qui témoigne de sa renommée qui dépasse largement les frontières du Québec. Lors de chaque salon du livre, cet auteur charismatique accueille chaleureusement son public en partageant des récits envoûtants. Cela contribue à sa notoriété croissante.

Je soupçonnais que ce chevalier au grand coeur dissimulait derrière sa cuirasse une âme d’adolescent. Vous allez pouvoir le découvrir dans ce nouveau roman, en ce 12 août, jour de la littérature québécoise.

Selon l’écrivain, tout est vrai ou presque. Effectivement, en troisième secondaire, en 1978, Hervé Gagnon était trop timide pour aborder une fille extraordinaire, qui se nommait Emma. Celle-ci périt malheureusement dans un accident de moto quelques années plus tard, alors que sa vie commençait tout juste. Bien qu’elle eût toute la vie devant elle, Hervé Gagnon la fit revivre à travers des sentiments. Ces perceptions amoureuses dont nous sommes familiers : le secondaire tumultueux, les sorties, la première demande… Nous sommes sur un terrain connu.

Sous la plume du romancier, nous plongeons dans des univers parallèles, grâce à des allers-retours. Emma ressuscite presque. Son héros toujours timide cherche un angle pour appréhender. La disparition d’une jeune fille, surtout si elle provoque des émois forts en nous, n’est pas facile à comprendre. Dans ce monde étrange qui rappelle la science-fiction, Hervé Gagnon tisse une histoire captivante, émouvante et unique. Elle plaira autant aux adolescents qu’aux lecteurs matures ayant connu l’année 1978. Une fois de plus, Hervé Gagnon brille, et il est certain que nous le retrouverons prochainement dans une nouvelle série sur les Templiers, ou en suivant son journaliste favori alors qu’il déambule dans les rues d’un Montréal qui s’évapore progressivement…

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